C'est ce samedi 27/10/07 à 10 heures pêtantes qu'ont commencé les travaux qui, nous y comptons bien, nous permettront de percer plus loin les mystères de ce chantoir légendaire, tributaire du système aboutissant on le sait à Remouchamps.On s'en souviendra, sur base des explorations coordonnées par Yves Dubois et de sa synthèse topo, une première étape fut déjà franchie en ouvrant un shunt qui permit alors un accès direct à une partie du réseau condamnée depuis de nombreuses années. Cela avait permit dans un deuxième temps de s'attaquer (malheureusement sans succès notoire) aux deux minuscules siphons mais aussi de revoir derrière de très sévères étroitures un conduit qui, tout porte à le croire, pourrait être l'accès vers l'aval tant convoité du chantoir de Sécheval.
Imaginer de travailler à cet endroit avec des chances de succès demande certains aménagements préalables. En préliminaire, sur base d'instructions précises du chef de chantier Robs, nous étions donc là (Christophe en contremaîte, Jack en mandaï, Yves en géomètre et le p'tit Robert en assistant) pour préparer et topographier le terrain.
Bénéficiant de conditions d'étiage idéales (il a fallu quand même dévier le ruisseau pour ne pas travailler les pieds dans l'eau), la grosse artillerie (groupe électrogène, Hilti TE55 et mèches de 40 à 90 cm) fut déployée à l'intérieur de la cavité en même temps que le fil topo. Des kilos de poussière extraits des parois à la force des poignets, bouchons dans les oreilles et foulard sur le nez, les lieux sont prêts pour une prochaine séance qui nous l'espérons pourra avoir lieu avant les crues d'hiver. Quatre coups de percuteur pour faciliter un peu l'accès au chantier qui reste sélectif sonnèrent la fin de ce dur labeur.
Bénéficiant de conditions d'étiage idéales (il a fallu quand même dévier le ruisseau pour ne pas travailler les pieds dans l'eau), la grosse artillerie (groupe électrogène, Hilti TE55 et mèches de 40 à 90 cm) fut déployée à l'intérieur de la cavité en même temps que le fil topo. Des kilos de poussière extraits des parois à la force des poignets, bouchons dans les oreilles et foulard sur le nez, les lieux sont prêts pour une prochaine séance qui nous l'espérons pourra avoir lieu avant les crues d'hiver. Quatre coups de percuteur pour faciliter un peu l'accès au chantier qui reste sélectif sonnèrent la fin de ce dur labeur.
Tout le mato replié et ressorti du trou, c'est avec un plaisir savouré que l'équipe est repassée au local pour se réhydrater en dégustant la "Boterresse", bière artisanale qui deviendra probablement la "Plein Pot". Et ce en cie non seulement des membres venus à la permanence club bimensuel mais aussi de l'équipe de plongeurs que Jacques avait invité.
